Animalz
Le 18 octobre 2013 restera une date importante pour la scène de Bass music parisienne. Pour la première fois, plus de 6000 personnes se sont réunies en une seul soirée : ANIMALZ. Annoncé seulement quelques semaines auparavant dans un lieu tenu secret, l’engouement autour de cette soirée a été immédiat. Pour causes ? Une line-up sans précédent en 2013, DOWNLINK, EXCISION, DIRTYPHONICS et pour conclure ZOMBOY. Sur Facebook près de 27 000 invitation ont été envoyés.
Le jour J plus de 6000 participants tous réunis au terminal 4, porte de Versailles. Le terminal 4 sert d’habitude a recevoir les salons ou expositions. Mais le 18 octobre c’est une toute autre ambiance qui s’est installée pour la nuit.
Il est rare que l’organisation de soirée soit efficace. Généralement il faut attendre longtemps, parfois trop longtemps à pousser et se faire pousser par une foule impatience de danser au rythme des basses. ANIMALZ promettait donc une longue et interminable attente et pourtant en moins d’une heure nous étions a l’intérieur fin prêt pour une longue et tumultueuse aventure.
Le terminal 4 offre des milliers de mettre carré d’espace. Résultat, même à plus de 6000, il restait beaucoup de place pour respirer. L’ambiance générale se rapprochait plus d’un festival tel I love techno en Belgique (à une échelle réduite) que d’une simple soirée en boite. Nous avons même eu la chance de croiser MECTOOB qui s’était déplacé pour l’événement.
Des basses, des basses en encore des basses. Musicalement ANIMALZ a était un sans faute. Chaque artiste s’est donnée au maximum pour le public. Nous avons pu ressentir cette émotion de bien être collective face a tous les DJs en dansant à plusieurs milliers en même temps. Après un tel succès nous pouvons penser que ce n’est que le début d’une longue liste de soirées. Des rumeurs parle même d’un second volet dès décembre.
Amateurs de basses, si vous n’étiez pas là à ANIMALZ je vous conseille de rester vigilants dans les mois à venir et de ne pas louper ce qui pourrait devenir le rendez-vous incontournable de la basse musique parisienne.
Bad Bear
